Bonjour xxxxx,
Félicitations ! Vous avez atteint le statut VIP PlatinumStar.
Votre niveau VIP dure jusqu’à la fin du mois ainsi que tout le mois suivant.
Ceci vous permet de bénéficier des avantages suivants :
…..
Pour rester PlatinumStar, vous devez accumuler au moins 7 500 VPP le mois prochain pour maintenir votre niveau.
Ils peuvent toujours rêver.
Accumulez 100 000 VPP au cours d’une année calendaire et vous obtiendrez le statut VIP Supernova et encore plus de fabuleuses récompenses
Même pas, j’y pense.
Cordialement,
L’équipe PokerStars
_________________________________________________
Et un peu con.
Pour y arriver, j’ai sué sang et eau, souffert comme pas possible, et je n’ai fait que cela depuis 3 matins et soirs, pour obtenir les 2 k restants à faire.
Maintenant je vais retourner à un mode qui me correspond mieux.
S’amuser sans se prendre la tête en essayant de progresser.
Go la PepeTeam.
mardi 30 juin 2009
lundi 29 juin 2009
Toujours pas les pieds sur terre
Le mois le plus ouff que j’ai connu depuis que j’ai débuté le poker.
Depuis le 10 du mois, je n’ai cessé de monter et de flinguer mon bankroll à une vitesse incroyable. Et ce n’est pas fini, il me reste un jour pour savoir si ce sera un mois blanc, gagnant ou catastrophique.
Car on joue également au poker pour cela, pour ce grain de folie qui nous pousse à dépasser les limites de la raison, sans pour autant atteindre la déraison totale.
Je n’aime pas parler de $ sur ce blog car cela ne veut pas dire grand chose pour moi. Je ne fais aucun retrait (même pour les bonus gagnés que j’avais envisagés) ; ces $ ne sont que des jetons gagnés et réinvestis. Ils n’ont donc qu’une valeur relative. Je jouerai avec de la play money que cela serait la même chose.
Donc je n’aime pas parler de $, mais je vais faire aujourd’hui une exception : au cours de ces 20 derniers jours j’ai fait varier mon bankroll de 300$ par jour en moyenne, un truc de ouff compte tenu de mon bankroll.
De toute façon, à compter du 1er juillet voire demain, je redeviendrai raisonnable.
J’ai encore pris mon lot d’horreurs mais surtout ce qui m’a le plus coûté c’est cette farouche envie de rester à table alors que tout me poussait à sortir. Ma cible en question était dans un état de grâce, et mes monstres se faisaient invariablement massacrer par ses poubelles. Et avec une moyenne de 30$ par pot, l’addition devient vite salée.
Par contre, j’ai la possibilité pour la première fois que je joue sur ce site d’être platinium star.
C’est la raison principale qui me pousse à continuer.
Et je ne vais pas rater cette occasion même si au final, je dois finir le mois négatif.
D’autant plus que dès l’obtention de ce Graal, la raison l’emportera de nouveau pour continuer à jouer normalement en espérant n’être que Gold.
J’ai 2 soirées et 1 matinée et demi pour faire 500 vpp et arrêter enfin mes conneries.
Car dès le prochain mois, je m’oriente vers la constitution d’une équipe que je vais sponsoriser. La PepeTeam.
On y trouvera :
Prof : Le joueur qui fait l’admiration de tous par ses capacités stratégiques qu’il n’a pas encore développées et ses connaissances techniques qu’il n’a pas encore acquises. C’est l’avenir de l’équipe, le sort de celle-ci dépendra en grande partie de sa volonté de faire ou de ne pas faire.
Son terrain de chasse est le limit SH, et à l’image de son minuscule bagage technique, il commence petit, par du 0,25 / 0,50.
Le but qu’il a accepté est de faire 10k mains à cette limite puis de faire le point des acquis.
Dormeur : C’est le banquier du groupe. Son style est monotone, ennuyeux et soporifique mais terriblement efficace. Son meilleur coup est le fold, bien que quelques fois il se laisse tenter par des envolées lyriques qui nous coûtent bien cher. Actuellement en NL50 FR, il espère clôturer cette limite avec près de 50k mains pour éventuellement passer à la limite supérieure, soit la NL100.
Joyeux : Le plus heureux des membres. Rien ne l’affecte. Il poursuit son petit bonhomme de chemin en sit&go sans faiblir, mais aussi sans vouloir se prendre la tête en jouant aux limites supérieures. Il contemple sa courbe sharkscope à loisir pour se convaincre qu’il a choisi la meilleure des formules, et pour se guérir des mauvais coups du sort. On a beau lui répéter d’aller voir plus haut, il reste solidement accroché à son train de sénateur. Nous savons désormais qu’il n’y aura plus rien à en tirer sauf un miracle.
Grincheux : C’était la star du groupe avant de s’en prendre plein la tête et de ne cesser de répéter que si la malchance ne lui avait pas joué des mauvais tours en 2008, il serait au firmament de son art. Depuis, il râle refusant de se remettre en question et ne pense qu’à cette maudite année 2008. Tant qu’il n’en aura pas fait son deuil, il continuera à nous emmerder profond. Actuellement, il sévit sur Everest en NL 25 ou 50 SH, qui lui donne toute la satisfaction de pester encore et encore contre les cartes encore et toujours défavorables.
Il n’aura droit de revenir sur PS quand il aura fait son deuil de 2008 et décidera de travailler son jeu sérieusement.
Enfin, il reste Simplet, le non-spécialiste du mtt. Il n’a jamais rien fait mais compte tenu qu’un miracle peut toujours avoir lieu, l’équipe supporte ses égarements en se disant : on ne sait jamais, sur un malentendu tout est possible.
Nous n’avons pas souhaité Timide et Atchoum, pour de simples raisons de logistique. Bras cassés, oui !!! Bras coupés non !!!
J’espère mettre ici à jour régulièrement les exploits de nos joyeux drilles dont la seule ambition reste de prendre du plaisir, en tournant définitivement le dos à l’activité de ouff du mois de juin.
Encore 500 vpp (ou 2 jours) et cette équipe de choc se mettra en ordre de bataille.
Actuellement
Juin = mois even, compte non tenu des bonus, à suivre et à finir au plus vite sous peine de finir sous les ponts.
Depuis le 10 du mois, je n’ai cessé de monter et de flinguer mon bankroll à une vitesse incroyable. Et ce n’est pas fini, il me reste un jour pour savoir si ce sera un mois blanc, gagnant ou catastrophique.
Car on joue également au poker pour cela, pour ce grain de folie qui nous pousse à dépasser les limites de la raison, sans pour autant atteindre la déraison totale.
Je n’aime pas parler de $ sur ce blog car cela ne veut pas dire grand chose pour moi. Je ne fais aucun retrait (même pour les bonus gagnés que j’avais envisagés) ; ces $ ne sont que des jetons gagnés et réinvestis. Ils n’ont donc qu’une valeur relative. Je jouerai avec de la play money que cela serait la même chose.
Donc je n’aime pas parler de $, mais je vais faire aujourd’hui une exception : au cours de ces 20 derniers jours j’ai fait varier mon bankroll de 300$ par jour en moyenne, un truc de ouff compte tenu de mon bankroll.
De toute façon, à compter du 1er juillet voire demain, je redeviendrai raisonnable.
J’ai encore pris mon lot d’horreurs mais surtout ce qui m’a le plus coûté c’est cette farouche envie de rester à table alors que tout me poussait à sortir. Ma cible en question était dans un état de grâce, et mes monstres se faisaient invariablement massacrer par ses poubelles. Et avec une moyenne de 30$ par pot, l’addition devient vite salée.
Par contre, j’ai la possibilité pour la première fois que je joue sur ce site d’être platinium star.
C’est la raison principale qui me pousse à continuer.
Et je ne vais pas rater cette occasion même si au final, je dois finir le mois négatif.
D’autant plus que dès l’obtention de ce Graal, la raison l’emportera de nouveau pour continuer à jouer normalement en espérant n’être que Gold.
J’ai 2 soirées et 1 matinée et demi pour faire 500 vpp et arrêter enfin mes conneries.
Car dès le prochain mois, je m’oriente vers la constitution d’une équipe que je vais sponsoriser. La PepeTeam.
On y trouvera :
Prof : Le joueur qui fait l’admiration de tous par ses capacités stratégiques qu’il n’a pas encore développées et ses connaissances techniques qu’il n’a pas encore acquises. C’est l’avenir de l’équipe, le sort de celle-ci dépendra en grande partie de sa volonté de faire ou de ne pas faire.
Son terrain de chasse est le limit SH, et à l’image de son minuscule bagage technique, il commence petit, par du 0,25 / 0,50.
Le but qu’il a accepté est de faire 10k mains à cette limite puis de faire le point des acquis.
Dormeur : C’est le banquier du groupe. Son style est monotone, ennuyeux et soporifique mais terriblement efficace. Son meilleur coup est le fold, bien que quelques fois il se laisse tenter par des envolées lyriques qui nous coûtent bien cher. Actuellement en NL50 FR, il espère clôturer cette limite avec près de 50k mains pour éventuellement passer à la limite supérieure, soit la NL100.
Joyeux : Le plus heureux des membres. Rien ne l’affecte. Il poursuit son petit bonhomme de chemin en sit&go sans faiblir, mais aussi sans vouloir se prendre la tête en jouant aux limites supérieures. Il contemple sa courbe sharkscope à loisir pour se convaincre qu’il a choisi la meilleure des formules, et pour se guérir des mauvais coups du sort. On a beau lui répéter d’aller voir plus haut, il reste solidement accroché à son train de sénateur. Nous savons désormais qu’il n’y aura plus rien à en tirer sauf un miracle.
Grincheux : C’était la star du groupe avant de s’en prendre plein la tête et de ne cesser de répéter que si la malchance ne lui avait pas joué des mauvais tours en 2008, il serait au firmament de son art. Depuis, il râle refusant de se remettre en question et ne pense qu’à cette maudite année 2008. Tant qu’il n’en aura pas fait son deuil, il continuera à nous emmerder profond. Actuellement, il sévit sur Everest en NL 25 ou 50 SH, qui lui donne toute la satisfaction de pester encore et encore contre les cartes encore et toujours défavorables.
Il n’aura droit de revenir sur PS quand il aura fait son deuil de 2008 et décidera de travailler son jeu sérieusement.
Enfin, il reste Simplet, le non-spécialiste du mtt. Il n’a jamais rien fait mais compte tenu qu’un miracle peut toujours avoir lieu, l’équipe supporte ses égarements en se disant : on ne sait jamais, sur un malentendu tout est possible.
Nous n’avons pas souhaité Timide et Atchoum, pour de simples raisons de logistique. Bras cassés, oui !!! Bras coupés non !!!
J’espère mettre ici à jour régulièrement les exploits de nos joyeux drilles dont la seule ambition reste de prendre du plaisir, en tournant définitivement le dos à l’activité de ouff du mois de juin.
Encore 500 vpp (ou 2 jours) et cette équipe de choc se mettra en ordre de bataille.
Actuellement
Juin = mois even, compte non tenu des bonus, à suivre et à finir au plus vite sous peine de finir sous les ponts.
dimanche 28 juin 2009
Promis, juré, craché
J’abandonne le cash limit, du moins dans sa forme actuelle. Fin du 3/6, 2/4, 1/2.
C’est le deuxième échec dans cette variante mais il vaut mieux reconnaître assez tôt son erreur que de vouloir persévérer dans une voie sans issue.
Quand l’envie de vomir prend le pas sur le jeu, il vaut mieux arrêter.
Je joue pour le plaisir, et je n’ai aucun plaisir à moins d’être particulièrement maso quand :
Je ne passe aucun de mes AA, KK.
Dernier en date : le gars utg limpe puis paye une sur-sur relance avec K2o. K flop, & river. nh.
Aucun de mes QQ, JJ, overcards dès le flop.
Je fais quinte au flop, une carte triple pour offrir un full de l’espace à mon adversaire.
Un gars limpe 84o en position précoce, et que je suis de bb avec T7 sans avoir rien demandé. La doublante du 7 me piège à la river face à sa quinte floppé
J’ai top paire, top kicker et qu’une couleur quadruple.
Et je passe sur les rivers dévastatrices, les tirages qui rentrent etc car ceux-ci sont plus conformes.
Toutes ces coups foireux concentrés en un même lieu, à quelques instants d’intervalle.
Au revoir le limit et à bientôt car je reviendrais, si la législation de 2010 l’autorisera.
Le limit est un jeu particulièrement exigeant où l’on doit battre le rake et ses adversaires sans focaliser sur les coups du sort.
Moi, je n’y arrive pas.
Je bats juste le rake ; je suis inférieur techniquement à bien de mes adversaires, et quand le sort s’acharne, trop c’est trop.
En sitngo, j’arrive à mieux jouer et dès lors j’encaisse mieux les coups.
Le dernier HU joué, je le couvre de peu et je perds au flop un 80/20. Top paire, top kicker vs middle paire floppée. Tout part au flop, favori à 80%. Il fera brelan à la turn.
Là j’arrive à raisonner, mais pas en limit, et encore moins quand le sort s’acharne.
Conclusion =
Mauvais techniquement + mauvais psychologiquement + client pour horreurs = erreur de casting.
Fin du cash limit, du moins à des limites où la perte de 30 big bet sans maîtrise, affecte mon bankroll.
Sans regret.
C’est le deuxième échec dans cette variante mais il vaut mieux reconnaître assez tôt son erreur que de vouloir persévérer dans une voie sans issue.
Quand l’envie de vomir prend le pas sur le jeu, il vaut mieux arrêter.
Je joue pour le plaisir, et je n’ai aucun plaisir à moins d’être particulièrement maso quand :
Je ne passe aucun de mes AA, KK.
Dernier en date : le gars utg limpe puis paye une sur-sur relance avec K2o. K flop, & river. nh.
Aucun de mes QQ, JJ, overcards dès le flop.
Je fais quinte au flop, une carte triple pour offrir un full de l’espace à mon adversaire.
Un gars limpe 84o en position précoce, et que je suis de bb avec T7 sans avoir rien demandé. La doublante du 7 me piège à la river face à sa quinte floppé
J’ai top paire, top kicker et qu’une couleur quadruple.
Et je passe sur les rivers dévastatrices, les tirages qui rentrent etc car ceux-ci sont plus conformes.
Toutes ces coups foireux concentrés en un même lieu, à quelques instants d’intervalle.
Au revoir le limit et à bientôt car je reviendrais, si la législation de 2010 l’autorisera.
Le limit est un jeu particulièrement exigeant où l’on doit battre le rake et ses adversaires sans focaliser sur les coups du sort.
Moi, je n’y arrive pas.
Je bats juste le rake ; je suis inférieur techniquement à bien de mes adversaires, et quand le sort s’acharne, trop c’est trop.
En sitngo, j’arrive à mieux jouer et dès lors j’encaisse mieux les coups.
Le dernier HU joué, je le couvre de peu et je perds au flop un 80/20. Top paire, top kicker vs middle paire floppée. Tout part au flop, favori à 80%. Il fera brelan à la turn.
Là j’arrive à raisonner, mais pas en limit, et encore moins quand le sort s’acharne.
Conclusion =
Mauvais techniquement + mauvais psychologiquement + client pour horreurs = erreur de casting.
Fin du cash limit, du moins à des limites où la perte de 30 big bet sans maîtrise, affecte mon bankroll.
Sans regret.
samedi 27 juin 2009
Jeu de c..
Classique :
Il suffit que j’évoque une fin de mois en roue libre au gré de la variance, au gré de la faible variance au regard du volume et des limites jouées, pour que tout un coup, patatrac, une révolution couve et va m’ébranler sans cette fois-ci me terrasser.
Instinct de mort vs instinct de survie. Actuellement, je suis mené 2/0.
Donc : pourtant tout avait commencé plutôt gentiment : une moyenne session en NL50 avec des fous furieux distribuant leurs jetons. Assez rare pour le signaler, je paierais une boite avec pas grand-chose mais certainement plus qu’avait mon adversaire qui voulait me faire croire le contraire.
Puis vint la catastrophe :
Encore une session sympathique en NL50 FR mais cette fois-ci le jeu me sera contraire. Pas grave, pas forcément bien joué mais pas non plus très mal joué. Je re-perds les gains de la veille.
Puis 1 sit&go turbo pour 1 nouvelle déconvenue : un 70% qui ne passe pas. Sans regret. Et un 180 joueurs à 12$ pour une sortie à la première main, avec encore une fois un 70% de raté. Encore une fois, je n’ai rien à me reprocher, donc pas de souci, pas de plainte.
Et enfin une mauvaise session en NL50 FR.
Un truc assez drôle ces derniers temps, c’est la propension qu’à PS de permettre à mes adversaires de faire double paire dès le flop à chaque rencontre all in preflop. Au moins cela a l’avantage de tuer le suspens et d’éviter de mettre faire sortir à la river. Mais si je le signale c’est que cet inconvénient majeur pour ma survie est devenu habituel.
Bon jusque là, la variance ne m’est pas favorable certes, mais je n’ai rien à me reprocher et je suis toujours dans le tempo que je m’étais promis de respecter, … jusqu’à ce que j’ouvre mes tables de limit.
J’avais mis mon bel habit de pilote de ligne, enfourché mon alpha jet. La piste me semblait bonne, mes adversaires assez faibles et imprudents.
Pourtant je ne suis jamais arrivé à décoller, accumulant quelques pertes pour de nouveau en récupérer quelques unes. Le quotidien, quoi. Rien ne rentre mais je suis en mode prudent.
Puis tout à coup, mon bel avion de chasse s’est transformé en une puissante foreuse dernier cri, qui eut le mauvais goût d’être de surcroît silencieuse. Je me doutais bien que quelque chose n’allait pas, ne gagnant aucune confrontation bien que favori preflop la grande majorité du temps. Mais quand on conjugue la malchance avec une maladresse technique chronique, et ce sur 4 tables, cela commence à devenir dangereux de ne pas s’en apercevoir à temps.
Ma foreuse a bien fonctionné et en moins d’une heure j’ai perdu quasiment tout l’acquis de mes bonus successifs.
J’étais toujours positif sur le mois certes mais mes bonus avaient été engloutis dans cette mauvaise affaire.
J’ai déjà connu telle mésaventure et je sais que pour m’en sortir, il ne faut surtout pas que je cherche à récupérer les jetons perdus. Ce n’était pas mon soir, point barre.
Par contre, me coucher sur un tel échec aurait eu un effet dévastateur le lendemain. Il me faut clore ce mauvais chapitre par une épreuve qui ne me laissera aucun regret.
Je me tourne donc vers ce que je sais mieux faire, a priori, le sit&go.
Je ne me voyais pas, par contre, en jouer un au limite habituelle. Cela aurait été bien fade. Je ne l’ai pas fait non plus dans un esprit de revanche. Je l’ai fait pour me vider l’esprit de ma session catastrophique en limit.
J’opte donc pour un sitngo à buy-in plus élevé mais toujours dans les limites de mon bankroll.
Le premier qui se remplit sera le bon.
En définitive, aucun 27$, aucun 38$ de disponible. Seul un 60$ allait débuter. 60$ pas forcément adéquat pour mon budget. 35 caves c’est juste, mais bon, le mode prophylactique n’a pas de prix.
Je l’ai joué sérieux, je l’ai bien joué. Pris des risques au bon moment pour finir 1er. Pas de suckout reçu ou imposé. Un résultat sans vaseline addicted.
Par contre, assez curieux comme jeu à ce niveau. Moi qui avais l’habitude de posséder un VPIP le plus faible de la table, je me suis retrouvé en jouant normalement avec un des VPIP les plus élevés.
Ils jouaient tous à Jacques a dit de ne pas bouger, ou plutôt à Jean-Paul a dit. Des VPIP de 4,5,7,8 etc .. truc de ouff.
A part 2 joueurs qui avaient eu la chance de doubler contre les 2 jobastres de la table, le tas des autres diminuait tranquillement mais sûrement. Ils faisaient donc tous du Jean-Paul a dit.
Ne voulant pas finir en mode push fold avec un faible tapis, j’ai trouvé assez tôt les ressources pour faire quelques jetons, en refusant de jouer à Jean-Paul a dit.
Je ne me suis intéressé aux prix distribués qu’à partir de la bulle et uniquement à ce moment là. Ce qui prouve que je ne me suis pas inscrit à cette limite pour regagner des jetons perdus. Je savais que faire cela aurait été dramatique car mon objectif prioritaire était de jouer du mieux possible.
M’enfin, grâce à ce résultat, j’ai épongé mes premières pertes liées aux bonus perdus.
Par la suite, j’ai ouvert de nouveau du limit, … mais cette fois-ci sur une seule table en 3/6, en mode plombssssssssssss dans la cervelle.
13 big bet gagnés plus tard, j’avais retrouvé mon bankroll d’avant la déroute avec un léger bénéfice.
J’ai tout fermé avant de prendre le risque d’enfourcher de nouveau ma foreuse.
Jeu de cons où rien n'est simple
Instinct de mort vs instinct de survie : 2/1. J’ai réduit l’écart.
Il suffit que j’évoque une fin de mois en roue libre au gré de la variance, au gré de la faible variance au regard du volume et des limites jouées, pour que tout un coup, patatrac, une révolution couve et va m’ébranler sans cette fois-ci me terrasser.
Instinct de mort vs instinct de survie. Actuellement, je suis mené 2/0.
Donc : pourtant tout avait commencé plutôt gentiment : une moyenne session en NL50 avec des fous furieux distribuant leurs jetons. Assez rare pour le signaler, je paierais une boite avec pas grand-chose mais certainement plus qu’avait mon adversaire qui voulait me faire croire le contraire.
Puis vint la catastrophe :
Encore une session sympathique en NL50 FR mais cette fois-ci le jeu me sera contraire. Pas grave, pas forcément bien joué mais pas non plus très mal joué. Je re-perds les gains de la veille.
Puis 1 sit&go turbo pour 1 nouvelle déconvenue : un 70% qui ne passe pas. Sans regret. Et un 180 joueurs à 12$ pour une sortie à la première main, avec encore une fois un 70% de raté. Encore une fois, je n’ai rien à me reprocher, donc pas de souci, pas de plainte.
Et enfin une mauvaise session en NL50 FR.
Un truc assez drôle ces derniers temps, c’est la propension qu’à PS de permettre à mes adversaires de faire double paire dès le flop à chaque rencontre all in preflop. Au moins cela a l’avantage de tuer le suspens et d’éviter de mettre faire sortir à la river. Mais si je le signale c’est que cet inconvénient majeur pour ma survie est devenu habituel.
Bon jusque là, la variance ne m’est pas favorable certes, mais je n’ai rien à me reprocher et je suis toujours dans le tempo que je m’étais promis de respecter, … jusqu’à ce que j’ouvre mes tables de limit.
J’avais mis mon bel habit de pilote de ligne, enfourché mon alpha jet. La piste me semblait bonne, mes adversaires assez faibles et imprudents.
Pourtant je ne suis jamais arrivé à décoller, accumulant quelques pertes pour de nouveau en récupérer quelques unes. Le quotidien, quoi. Rien ne rentre mais je suis en mode prudent.
Puis tout à coup, mon bel avion de chasse s’est transformé en une puissante foreuse dernier cri, qui eut le mauvais goût d’être de surcroît silencieuse. Je me doutais bien que quelque chose n’allait pas, ne gagnant aucune confrontation bien que favori preflop la grande majorité du temps. Mais quand on conjugue la malchance avec une maladresse technique chronique, et ce sur 4 tables, cela commence à devenir dangereux de ne pas s’en apercevoir à temps.
Ma foreuse a bien fonctionné et en moins d’une heure j’ai perdu quasiment tout l’acquis de mes bonus successifs.
J’étais toujours positif sur le mois certes mais mes bonus avaient été engloutis dans cette mauvaise affaire.
J’ai déjà connu telle mésaventure et je sais que pour m’en sortir, il ne faut surtout pas que je cherche à récupérer les jetons perdus. Ce n’était pas mon soir, point barre.
Par contre, me coucher sur un tel échec aurait eu un effet dévastateur le lendemain. Il me faut clore ce mauvais chapitre par une épreuve qui ne me laissera aucun regret.
Je me tourne donc vers ce que je sais mieux faire, a priori, le sit&go.
Je ne me voyais pas, par contre, en jouer un au limite habituelle. Cela aurait été bien fade. Je ne l’ai pas fait non plus dans un esprit de revanche. Je l’ai fait pour me vider l’esprit de ma session catastrophique en limit.
J’opte donc pour un sitngo à buy-in plus élevé mais toujours dans les limites de mon bankroll.
Le premier qui se remplit sera le bon.
En définitive, aucun 27$, aucun 38$ de disponible. Seul un 60$ allait débuter. 60$ pas forcément adéquat pour mon budget. 35 caves c’est juste, mais bon, le mode prophylactique n’a pas de prix.
Je l’ai joué sérieux, je l’ai bien joué. Pris des risques au bon moment pour finir 1er. Pas de suckout reçu ou imposé. Un résultat sans vaseline addicted.
Par contre, assez curieux comme jeu à ce niveau. Moi qui avais l’habitude de posséder un VPIP le plus faible de la table, je me suis retrouvé en jouant normalement avec un des VPIP les plus élevés.
Ils jouaient tous à Jacques a dit de ne pas bouger, ou plutôt à Jean-Paul a dit. Des VPIP de 4,5,7,8 etc .. truc de ouff.
A part 2 joueurs qui avaient eu la chance de doubler contre les 2 jobastres de la table, le tas des autres diminuait tranquillement mais sûrement. Ils faisaient donc tous du Jean-Paul a dit.
Ne voulant pas finir en mode push fold avec un faible tapis, j’ai trouvé assez tôt les ressources pour faire quelques jetons, en refusant de jouer à Jean-Paul a dit.
Je ne me suis intéressé aux prix distribués qu’à partir de la bulle et uniquement à ce moment là. Ce qui prouve que je ne me suis pas inscrit à cette limite pour regagner des jetons perdus. Je savais que faire cela aurait été dramatique car mon objectif prioritaire était de jouer du mieux possible.
M’enfin, grâce à ce résultat, j’ai épongé mes premières pertes liées aux bonus perdus.
Par la suite, j’ai ouvert de nouveau du limit, … mais cette fois-ci sur une seule table en 3/6, en mode plombssssssssssss dans la cervelle.
13 big bet gagnés plus tard, j’avais retrouvé mon bankroll d’avant la déroute avec un léger bénéfice.
J’ai tout fermé avant de prendre le risque d’enfourcher de nouveau ma foreuse.
Jeu de cons où rien n'est simple
Instinct de mort vs instinct de survie : 2/1. J’ai réduit l’écart.
jeudi 25 juin 2009
Humilité, sérénité, patience.
En 1 mot, il est bien poussif ce mois de juin. Mais pas le droit de se plaindre tant le jeu développé, l’esprit guerrier et la volonté de bien faire manquaient vraiment de piments.
Je pourrais toujours arguer du fait que je suis malade (au sens propre) et fatigué (au sens figuré). Mais cet état n’a affecté qu’une toute partie du mois de juin. Pour le reste c’était morne plaine.
Je m’en tire donc bien avec un bilan positif, de peu certes mais positif quand même, compte non tenu des bonus obtenus.
Car il est bien là le seul motif de satisfaction de ce mois : les bonus. Dans ce domaine, j’obéis à la loi du tout ou rien.
Jusqu’à présent, je n’ai réservé les fpp glanés qu’aux satellites à 210 fpp pour des T$ que j’ai essayé de transformer tant bien que mal en $. Certes avec bonheur le plus souvent, mais avec quelques moments d’égarement qui m’ont coûté leur pesant de $.
Donc je suis passé d’une période où je n’ai jamais échangé le moindre fpp pour un bonus, à un mois de juin où j’ai vidé mon compte fpp pour des $. Pour cette collecte, j’ai participé à hauteur de 5k +10k + 1k + 1k + 0,5k soit 17k5 fpp entre fin mai et fin juin.
Au niveau des sitngo, cela n’est pas la joie. Je dois en être à plus de 5 turbos à 6$ hors places payées. La cadence n’est pas en cause. La qualité de mon jeu est la principale responsable. Non pas que je joue très mal, mais je ne joue que moyennement bien, un jeu trop stéréotypé. Dès lors, en perdant quasiment toutes les rencontres à 50/50, 60/40 voire 70/30, les résultats ne sont pas au rendez-vous, logique.
Quand la moitié des joueurs emploient la même stratégie, la différence va se faire sur des détails. Et dans ce domaine là, j’ai failli. Sur quelques détails, mes décisions auraient dû être différentes : taille relance, stop&go, boîtes payées ou pas, etc.. Mes raisonnements étaient corrects mais pas optimaux dans les situations rencontrées.
A partir de ce moment-là, si je ne passe pas un coin flip sur 2, je fais 0 itm, logique.
Dès lors, pour me mettre une saine pression et m’obliger à mieux réfléchir, j’ai fait un sitngo à 25$ + 2. Je suis loin d’être en danger à cette limite car encore bien en deça des 40 buy-in théorique, et même plus proche des 100 que des 50.
Mais comme je suis un grand habitué des envolées vers le bas, j’ai besoin d’avoir un seuil de sécurité très confortable car la pression deviendrait vite inhibition.
Donc sur ce 25$, j’ai enfin fait itm. Non sans mal. Sans problème jusqu’à la bulle, de l’équilibrisme à la bulle, désert de cartes par la suite donc spectateur pour la deuxième place et en HU avec 2k5 en jetons et moins de 5bb, mon KJ s’empalera sur un A6 tout mouillé mais bien plus puissant.
Sur les 45 joueurs, toujours à la recherche du spot gagnant en jouant les 70/30 voire 80/20. Là c’est pire que sur les 9 joueurs, mais je n’ai rien à me reprocher. Donc, wait et see, that’s poker !
En ce qui concerne le limit, je suis dans l’ensemble négatif. Je ne vais pas me répéter : en bad run certes, mais de grosses imprécisions et un manque de maîtrise qui font pencher la balance vers le négatif. Pas de quoi crier au scandale, même si je pense qu’avec un petit coup de pouce, et quelques pots gagnés, et donc un jeu non déréglé, mes résultats auraient été inversés. Donc : de quoi garder confiance et surtout chercher à s’améliorer !!
A ce propos, j’ai opté pour une formule plus en douceur basée sur le travail et non plus sur le jeu.
J’ai donc commencé un pèlerinage en Limit 0,25/0,50 sur 2 ou 4 tables. Je ne me concentre actuellement que un canevas de mains de départ : d’attaque, de call ou de défense, que je dois respecter absolument. Quand celles-ci seront bien intégrées, je passerais aux phases suivantes pour monter progressivement de limites.
Donc 329 mains jouées, pour un 8 big bet / 100. Je ne m’enflamme pas car à ces limites la variance est énorme compte tenu des rigolos que l’on y trouve.
Pour finir le NL FR. Après avoir eu du mal en début de mois et une volonté de me tourner vers le limit pour faire des fpp, j’ai repris tout en douceur le chemin des tables de FR récemment. Première bonne surprise, les tables étaient moins difficiles qu’en début de mois. Pourtant les horaires étaient les mêmes, va comprendre Charles ?
Deuxième bonne surprise, mon envie de jouer sérieusement était présente. Quoique à certains moments, je me suis assez égaré pour me demander d’arrêter mes âneries.
A ce jour, 42 809 mains en NL50 FR pour 1,91 big blind / 100. Pas terrible certes, mais POSITIF. Compte tenu des tapis perdus bêtement (ego, aveuglement, bluff tout pourri) et des phases de jeu où je suis encore léger, faire une moyenne de 1,91 bb/100 sur presque 43k mains n’est pas trop mal.
Plus que 3k mains soit une quinzaine de jours et je passe de nouveau en NL100 en espérant abandonner définitivement la NL50.
Ce que je perdrais d’un côté sera compensé de l’autre, c’est à dire edge moins important mais moins enclin à faire du grand n’importe quoi.
Le NL100 sera mon seuil maximal de limite en FR. Je n’ai pas le niveau pour jouer à des tables où tout le monde joue très serré, très agressif comme c’est le cas aux limites supérieures en FR.
Voili voilou, je suis parti pour faire quelques lignes et j’ai fait un pre-bilan mensuel.
De toute façon, ma fin de mois ne sera pas palpitante, d’une part parce que je n’en ai pas la volonté car fin de mois rime chez moi avec préservation des acquis (on ne touche pas à un mois positif), et d’autre part car je vais finir le mois en douceur en remplissant quelques lignes supplémentaires du Quiche Poker Tour qui ne vaudront aucun commentaire.
Low limit + qualité de jeu lammmeeeennnntable = no comment.
Prochain post, prochain mois sauf si .. mais j’en doute.
Je pourrais toujours arguer du fait que je suis malade (au sens propre) et fatigué (au sens figuré). Mais cet état n’a affecté qu’une toute partie du mois de juin. Pour le reste c’était morne plaine.
Je m’en tire donc bien avec un bilan positif, de peu certes mais positif quand même, compte non tenu des bonus obtenus.
Car il est bien là le seul motif de satisfaction de ce mois : les bonus. Dans ce domaine, j’obéis à la loi du tout ou rien.
Jusqu’à présent, je n’ai réservé les fpp glanés qu’aux satellites à 210 fpp pour des T$ que j’ai essayé de transformer tant bien que mal en $. Certes avec bonheur le plus souvent, mais avec quelques moments d’égarement qui m’ont coûté leur pesant de $.
Donc je suis passé d’une période où je n’ai jamais échangé le moindre fpp pour un bonus, à un mois de juin où j’ai vidé mon compte fpp pour des $. Pour cette collecte, j’ai participé à hauteur de 5k +10k + 1k + 1k + 0,5k soit 17k5 fpp entre fin mai et fin juin.
Au niveau des sitngo, cela n’est pas la joie. Je dois en être à plus de 5 turbos à 6$ hors places payées. La cadence n’est pas en cause. La qualité de mon jeu est la principale responsable. Non pas que je joue très mal, mais je ne joue que moyennement bien, un jeu trop stéréotypé. Dès lors, en perdant quasiment toutes les rencontres à 50/50, 60/40 voire 70/30, les résultats ne sont pas au rendez-vous, logique.
Quand la moitié des joueurs emploient la même stratégie, la différence va se faire sur des détails. Et dans ce domaine là, j’ai failli. Sur quelques détails, mes décisions auraient dû être différentes : taille relance, stop&go, boîtes payées ou pas, etc.. Mes raisonnements étaient corrects mais pas optimaux dans les situations rencontrées.
A partir de ce moment-là, si je ne passe pas un coin flip sur 2, je fais 0 itm, logique.
Dès lors, pour me mettre une saine pression et m’obliger à mieux réfléchir, j’ai fait un sitngo à 25$ + 2. Je suis loin d’être en danger à cette limite car encore bien en deça des 40 buy-in théorique, et même plus proche des 100 que des 50.
Mais comme je suis un grand habitué des envolées vers le bas, j’ai besoin d’avoir un seuil de sécurité très confortable car la pression deviendrait vite inhibition.
Donc sur ce 25$, j’ai enfin fait itm. Non sans mal. Sans problème jusqu’à la bulle, de l’équilibrisme à la bulle, désert de cartes par la suite donc spectateur pour la deuxième place et en HU avec 2k5 en jetons et moins de 5bb, mon KJ s’empalera sur un A6 tout mouillé mais bien plus puissant.
Sur les 45 joueurs, toujours à la recherche du spot gagnant en jouant les 70/30 voire 80/20. Là c’est pire que sur les 9 joueurs, mais je n’ai rien à me reprocher. Donc, wait et see, that’s poker !
En ce qui concerne le limit, je suis dans l’ensemble négatif. Je ne vais pas me répéter : en bad run certes, mais de grosses imprécisions et un manque de maîtrise qui font pencher la balance vers le négatif. Pas de quoi crier au scandale, même si je pense qu’avec un petit coup de pouce, et quelques pots gagnés, et donc un jeu non déréglé, mes résultats auraient été inversés. Donc : de quoi garder confiance et surtout chercher à s’améliorer !!
A ce propos, j’ai opté pour une formule plus en douceur basée sur le travail et non plus sur le jeu.
J’ai donc commencé un pèlerinage en Limit 0,25/0,50 sur 2 ou 4 tables. Je ne me concentre actuellement que un canevas de mains de départ : d’attaque, de call ou de défense, que je dois respecter absolument. Quand celles-ci seront bien intégrées, je passerais aux phases suivantes pour monter progressivement de limites.
Donc 329 mains jouées, pour un 8 big bet / 100. Je ne m’enflamme pas car à ces limites la variance est énorme compte tenu des rigolos que l’on y trouve.
Pour finir le NL FR. Après avoir eu du mal en début de mois et une volonté de me tourner vers le limit pour faire des fpp, j’ai repris tout en douceur le chemin des tables de FR récemment. Première bonne surprise, les tables étaient moins difficiles qu’en début de mois. Pourtant les horaires étaient les mêmes, va comprendre Charles ?
Deuxième bonne surprise, mon envie de jouer sérieusement était présente. Quoique à certains moments, je me suis assez égaré pour me demander d’arrêter mes âneries.
A ce jour, 42 809 mains en NL50 FR pour 1,91 big blind / 100. Pas terrible certes, mais POSITIF. Compte tenu des tapis perdus bêtement (ego, aveuglement, bluff tout pourri) et des phases de jeu où je suis encore léger, faire une moyenne de 1,91 bb/100 sur presque 43k mains n’est pas trop mal.
Plus que 3k mains soit une quinzaine de jours et je passe de nouveau en NL100 en espérant abandonner définitivement la NL50.
Ce que je perdrais d’un côté sera compensé de l’autre, c’est à dire edge moins important mais moins enclin à faire du grand n’importe quoi.
Le NL100 sera mon seuil maximal de limite en FR. Je n’ai pas le niveau pour jouer à des tables où tout le monde joue très serré, très agressif comme c’est le cas aux limites supérieures en FR.
Voili voilou, je suis parti pour faire quelques lignes et j’ai fait un pre-bilan mensuel.
De toute façon, ma fin de mois ne sera pas palpitante, d’une part parce que je n’en ai pas la volonté car fin de mois rime chez moi avec préservation des acquis (on ne touche pas à un mois positif), et d’autre part car je vais finir le mois en douceur en remplissant quelques lignes supplémentaires du Quiche Poker Tour qui ne vaudront aucun commentaire.
Low limit + qualité de jeu lammmeeeennnntable = no comment.
Prochain post, prochain mois sauf si .. mais j’en doute.
lundi 22 juin 2009
L’arnaque
Source inépuisable.
Je suis parti en cette belle journée de samedi avec dans ma poche droite le bénéfice mensuel et dans ma poche gauche quelques 9k950 fpp. J’avais donc tout le loisir de prendre mon temps pour obtenir le bonus de 10k. Et puis patatra, tout est allé de travers et au bout du compte j’ai perdu presque tout le bénéfice du mois. Le bonus obtenu est loin de couvrir les pertes du jour. Un gouffre.
Bien sûr, je n’ai pas engagé mes jetons pour obtenir le bonus. Mais il m’est difficile de raisonner sereinement en pensant que ce fut une session normale indépendante du bonus. Faire un parallèle est humain, et gaspiller autant de jetons pour en gagner beaucoup moins, est une belle arnaque.
Je suis encore positif depuis le 1er juin. Cela ne me rassure qu’à moitié.
Ce qui est plus encourageant, c’est que je suis positif même si j’ôte de mon bankroll les bonus accumulés.
Mois even, donc.
En allant faire quelques courses, j’ai fait un court passage dans une librairie. Compte tenu de mes pertes journalières, je n’étais plus à quelques euros près. Dès lors, j’ai pensé que l’achat d’un mensuel avec en couverture un des meilleurs joueurs français ne pouvait être qu’un bon investissement. En plus 2 magazines pour le prix d’1, ouahhh, je call.
Le contenu était techniquement médiocre et ne m’a rien appris d’intéressant. Peut-être ai-je trop progressé pour profiter de ce mensuel ? M’enfin, encore quelques euros de gâchés !!!
Et pour finir, parlons un peu plus des horreurs quotidiennes et surtout et essentiellement de ses conséquences.
Prendre des suckouts c’est courant, en prendre autant en ce moment c’est rare mais cela arrive. That’s poker !!
Et si cela ne convient pas, un seul mot d’ordre : s’arrêter de jouer !! Et comme je continue, c’est que cela me convient.
Au jeu des 7 familles des suckouts, je pense que je ferais fortune actuellement. Chez moi rien ne rentre et en face c’est noël. Mieux vaut 2 exemples qu’un long discours. 2 coups joués correctement donc SANS regret.
Ex01 : J’ai une premium face à une broadway suited. Mon adversaire fera un trip au flop et une flush river. La totale.
Ex02 : J’ai AK face à un ultra loose calling station, les meilleurs clients. Je sais que si je touche, je prendrais gras. Au flop AK7. Le flop le plus pourri pour moi, car j’ai touché mais trop, et ce serait un miracle qu’il possède un 7. Si je relance au flop, il foldera 98% du temps. Même ce type de joueur n’est pas assez stupide pour payer avec air un tel flop. Il faut qu’il touche un petit quelque chose.
Turn = 5. Oop j’attaque avec une mise en espérant qu’il a un 5 ou un 7. Il paye. Bingo.
River = le 7 double. Le double miracle est bien là. Il avait J7
2 exemples de coup qui ne me laissent aucun regret.
J’ai lu quelque part que même à la fin de la session négative en ayant la sensation d’avoir joué correctement, il y avait lieu d’être malgré tout satisfait.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas du tout le cas.
Un gros brin de malchance certes, mais qui va totalement dérégler mon jeu en pensant notamment que je peux moi aussi toucher avec des mains spéculatives. C’est stupide car non seulement, rien ne rentre mais en plus je creuse le déficit.
Je deviens un fish sur certaines sessions qui annule tout le bénéfice d’autres sessions. Et je dois d’être even ce mois-ci à des sessions de NL FR qui se passent sans trop de désagrément.
Quel gâchis !! Je peste non pas après les cartes mais après mon jeu qui part en vrille total.
C’est la double peine des horreurs. Pourtant, en continuant à jouer sérieusement face à tant d’adversité, je pense que mes sessions de limit auraient été juste équilibrées.
Ce que j’arrive à faire en sit&go, j’en suis incapable en limit. Sur les 3 derniers ‘45 joueurs’, je perds sur des horreurs. Mais ayant la conscience tranquille du joueur qui a joué correctement, je ne me formalise pas. Et si j’ai la possibilité de m’y réinscrire, je n’hésiterais pas.
Si j’en ai parlé sur ce long post, c’est que je souhaite enfin retrouver le droit chemin. Il faut rayer la période passée, penser positif.
Je ne dois plus penser à gagner des jetons mais A JOUER DU MIEUX POSSIBLE. Après les mauvais tirages se fatigueront bien avant moi ;)
NON MAIS !!!!!!
Pas de nouvelle de nos Vegassiens. J’espère que pour eux cela se passe hyper bien au niveau des résultats. En ce concerne l’ambiance, je n’en ai aucun doute.
Je suis parti en cette belle journée de samedi avec dans ma poche droite le bénéfice mensuel et dans ma poche gauche quelques 9k950 fpp. J’avais donc tout le loisir de prendre mon temps pour obtenir le bonus de 10k. Et puis patatra, tout est allé de travers et au bout du compte j’ai perdu presque tout le bénéfice du mois. Le bonus obtenu est loin de couvrir les pertes du jour. Un gouffre.
Bien sûr, je n’ai pas engagé mes jetons pour obtenir le bonus. Mais il m’est difficile de raisonner sereinement en pensant que ce fut une session normale indépendante du bonus. Faire un parallèle est humain, et gaspiller autant de jetons pour en gagner beaucoup moins, est une belle arnaque.
Je suis encore positif depuis le 1er juin. Cela ne me rassure qu’à moitié.
Ce qui est plus encourageant, c’est que je suis positif même si j’ôte de mon bankroll les bonus accumulés.
Mois even, donc.
En allant faire quelques courses, j’ai fait un court passage dans une librairie. Compte tenu de mes pertes journalières, je n’étais plus à quelques euros près. Dès lors, j’ai pensé que l’achat d’un mensuel avec en couverture un des meilleurs joueurs français ne pouvait être qu’un bon investissement. En plus 2 magazines pour le prix d’1, ouahhh, je call.
Le contenu était techniquement médiocre et ne m’a rien appris d’intéressant. Peut-être ai-je trop progressé pour profiter de ce mensuel ? M’enfin, encore quelques euros de gâchés !!!
Et pour finir, parlons un peu plus des horreurs quotidiennes et surtout et essentiellement de ses conséquences.
Prendre des suckouts c’est courant, en prendre autant en ce moment c’est rare mais cela arrive. That’s poker !!
Et si cela ne convient pas, un seul mot d’ordre : s’arrêter de jouer !! Et comme je continue, c’est que cela me convient.
Au jeu des 7 familles des suckouts, je pense que je ferais fortune actuellement. Chez moi rien ne rentre et en face c’est noël. Mieux vaut 2 exemples qu’un long discours. 2 coups joués correctement donc SANS regret.
Ex01 : J’ai une premium face à une broadway suited. Mon adversaire fera un trip au flop et une flush river. La totale.
Ex02 : J’ai AK face à un ultra loose calling station, les meilleurs clients. Je sais que si je touche, je prendrais gras. Au flop AK7. Le flop le plus pourri pour moi, car j’ai touché mais trop, et ce serait un miracle qu’il possède un 7. Si je relance au flop, il foldera 98% du temps. Même ce type de joueur n’est pas assez stupide pour payer avec air un tel flop. Il faut qu’il touche un petit quelque chose.
Turn = 5. Oop j’attaque avec une mise en espérant qu’il a un 5 ou un 7. Il paye. Bingo.
River = le 7 double. Le double miracle est bien là. Il avait J7
2 exemples de coup qui ne me laissent aucun regret.
J’ai lu quelque part que même à la fin de la session négative en ayant la sensation d’avoir joué correctement, il y avait lieu d’être malgré tout satisfait.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce n’est pas du tout le cas.
Un gros brin de malchance certes, mais qui va totalement dérégler mon jeu en pensant notamment que je peux moi aussi toucher avec des mains spéculatives. C’est stupide car non seulement, rien ne rentre mais en plus je creuse le déficit.
Je deviens un fish sur certaines sessions qui annule tout le bénéfice d’autres sessions. Et je dois d’être even ce mois-ci à des sessions de NL FR qui se passent sans trop de désagrément.
Quel gâchis !! Je peste non pas après les cartes mais après mon jeu qui part en vrille total.
C’est la double peine des horreurs. Pourtant, en continuant à jouer sérieusement face à tant d’adversité, je pense que mes sessions de limit auraient été juste équilibrées.
Ce que j’arrive à faire en sit&go, j’en suis incapable en limit. Sur les 3 derniers ‘45 joueurs’, je perds sur des horreurs. Mais ayant la conscience tranquille du joueur qui a joué correctement, je ne me formalise pas. Et si j’ai la possibilité de m’y réinscrire, je n’hésiterais pas.
Si j’en ai parlé sur ce long post, c’est que je souhaite enfin retrouver le droit chemin. Il faut rayer la période passée, penser positif.
Je ne dois plus penser à gagner des jetons mais A JOUER DU MIEUX POSSIBLE. Après les mauvais tirages se fatigueront bien avant moi ;)
NON MAIS !!!!!!
Pas de nouvelle de nos Vegassiens. J’espère que pour eux cela se passe hyper bien au niveau des résultats. En ce concerne l’ambiance, je n’en ai aucun doute.
vendredi 19 juin 2009
Bis repetita non placent
Et cela continue : encore de gentils membres à ma table à qui je fais de gentilles donations. Pourtant je n’ai pas trop à me plaindre, je ne m’en sors pas trop mal, car je finis positif en jetons et très positif en fpp.
Il y a des joueurs contre lesquels rien ne passe et/ou au contraire tout se passe de travers.
Quand nous partageons la top paire :
Soit j’ai le kicker inférieur à un chouïa près, mais faisant preuve d’une précaution extrême je perds le minimum.
Soit j’ai le kicker supérieur et là c’est pire :
Car si je n’ai aucune raison de faire preuve de retenue, mon adversaire avec un faible kicker ne va pas adopter la même prudence, résultat : le pot s’emballe au flop et bien entendu le kicker adverse double à la turn ou à la river, et je vois s’éloigner de mon tas, ma jolie contribution.
Après, c’est une question de chance, car si j’ai la position j’adopte le call, le pot étant assez étoffé.
Mais si j’ai la malchance d’être oop dans ce cas de figure, cela me coûte un big bet supplémentaire. Car il est hors de question, du moins à la turn, de faire un check en premier de parole avec une top paire gros kicker face à un loose même agressif.
J’ai donc droit généralement à un check raise qui va me coûter un big bet supplémentaire.
Par contre à la river, je préfère toujours jouer la prudence dans cette configuration, car ‘impossible is nothing’.
Donc viendra (ou reviendra, car ma mémoire est sélective) le jour où je gagnerai à la fois avec kicker supérieur et kicker inférieur. Ce jour là, ce ne sera (de nouveau) que du bonheur !!
Par contre, il y a des coups joués qui me laissent sur les fesses, totalement. Je comprends mieux pourquoi, même en prenant des suckouts je finis positif sur certaines tables, mais pas sur toutes malheureusement.
Ce coup oppose AKo à 54o. Jusqu’à là rien d’anormal. Très courant en fix limit notamment en défense de blinds. Sauf que là, il ne s’agit pas de défense de blinds. Le premier relanceur utg possède 54, puis se fait sur relancer par le AKo.
A eux deux, ils chassent les blinds mais cappent le pot preflop.
Flop : KQJ et croyez vous que cela calme les ardeurs de nos protagonistes ? Que nenni !
Le pot post flop ne sera pas cappé car le 54 oop, attaque et ne fait que payer la sur relance.
Turn : 5 et là c’est le drame. Le pot s’emballe et est cappé. Comment peut-on capper le pot avec AKo avec ce board ? Pour le 54o n’en parlons même pas !!
River : 4 et là même limonade et tout repart de plus belle.
Pour la petite histoire 54 l’emportera sur le AK, et je ne peux même pas parler d’injustice car aucun joueur correct ne peut jouer son AK de cette façon.
Bon je rassure mes lecteurs confidentiels, sur la grande majorité de mes tables, le jeu se passe plus normalement. Bien malheureusement, ;)
Pour finir une petite histoire en guise de justice.
En ne faisant que 2 tables de fix limit, j’ouvre généralement 3 tables de NL FR. Bien entendu, quand je fais 6 tables de fix limit, je ne me concentre que sur le fix limit.
Donc quand je fais 2 FL et 3 NL, j’ai plutôt l’âme peu bagarreuse et souhaite jouer le plus calmement du monde.
Ces tables de NL, n’ont pas été de la sinécure. Mes pp jusqu’alors m’ont coûté assez cher pour ne rien me rapporter, logique, rien à dire. Je me suis fais souvent 3betté, quand j’ouvrais avec AK voire avec mes pp. Toutefois j’aurais la possibilité de prendre un beau pot preflop avec AA et je ne m’en suis pas privé.
3 tables = 3 terrains de mines.
Quand arriva le coup ci-après :
J’ai pp de 8 au bouton. Premier ouvreur je relance à 3bb. Je me fais 3beter immédiatement par la sb. Avec la position et après avoir essuyé plusieurs revers dans ces conditions je me décide de payer, le gars est cavé max, … comme moi.
Un flop tout à cœur contenant un 8.
Mon bon monsieur m’avait 3 beté avec une poubelle à cœur (64s, 53s ou 54s) et fait donc flush dès le flop. Belle pêche avec sa poubelle.
Nos tas de jetons partent au milieu à cet instant. Dès lors, je ne crains que le AKs à cœur bien que sa sur-relance témoigne d’une premium. Je me suis fait bien piéger par sa poubelle à cœur.
La morale c’est que mon set de 8 fera full et que je gagnerai donc un 35/65 qui punira le LAG de service. J’en ai tellement financé jusqu’à présent, que j’apprécie d’en déstacker 1. C’est mon côté zorro qui ressort … et qui m’a créé bien des torts.
Il y a des joueurs contre lesquels rien ne passe et/ou au contraire tout se passe de travers.
Quand nous partageons la top paire :
Soit j’ai le kicker inférieur à un chouïa près, mais faisant preuve d’une précaution extrême je perds le minimum.
Soit j’ai le kicker supérieur et là c’est pire :
Car si je n’ai aucune raison de faire preuve de retenue, mon adversaire avec un faible kicker ne va pas adopter la même prudence, résultat : le pot s’emballe au flop et bien entendu le kicker adverse double à la turn ou à la river, et je vois s’éloigner de mon tas, ma jolie contribution.
Après, c’est une question de chance, car si j’ai la position j’adopte le call, le pot étant assez étoffé.
Mais si j’ai la malchance d’être oop dans ce cas de figure, cela me coûte un big bet supplémentaire. Car il est hors de question, du moins à la turn, de faire un check en premier de parole avec une top paire gros kicker face à un loose même agressif.
J’ai donc droit généralement à un check raise qui va me coûter un big bet supplémentaire.
Par contre à la river, je préfère toujours jouer la prudence dans cette configuration, car ‘impossible is nothing’.
Donc viendra (ou reviendra, car ma mémoire est sélective) le jour où je gagnerai à la fois avec kicker supérieur et kicker inférieur. Ce jour là, ce ne sera (de nouveau) que du bonheur !!
Par contre, il y a des coups joués qui me laissent sur les fesses, totalement. Je comprends mieux pourquoi, même en prenant des suckouts je finis positif sur certaines tables, mais pas sur toutes malheureusement.
Ce coup oppose AKo à 54o. Jusqu’à là rien d’anormal. Très courant en fix limit notamment en défense de blinds. Sauf que là, il ne s’agit pas de défense de blinds. Le premier relanceur utg possède 54, puis se fait sur relancer par le AKo.
A eux deux, ils chassent les blinds mais cappent le pot preflop.
Flop : KQJ et croyez vous que cela calme les ardeurs de nos protagonistes ? Que nenni !
Le pot post flop ne sera pas cappé car le 54 oop, attaque et ne fait que payer la sur relance.
Turn : 5 et là c’est le drame. Le pot s’emballe et est cappé. Comment peut-on capper le pot avec AKo avec ce board ? Pour le 54o n’en parlons même pas !!
River : 4 et là même limonade et tout repart de plus belle.
Pour la petite histoire 54 l’emportera sur le AK, et je ne peux même pas parler d’injustice car aucun joueur correct ne peut jouer son AK de cette façon.
Bon je rassure mes lecteurs confidentiels, sur la grande majorité de mes tables, le jeu se passe plus normalement. Bien malheureusement, ;)
Pour finir une petite histoire en guise de justice.
En ne faisant que 2 tables de fix limit, j’ouvre généralement 3 tables de NL FR. Bien entendu, quand je fais 6 tables de fix limit, je ne me concentre que sur le fix limit.
Donc quand je fais 2 FL et 3 NL, j’ai plutôt l’âme peu bagarreuse et souhaite jouer le plus calmement du monde.
Ces tables de NL, n’ont pas été de la sinécure. Mes pp jusqu’alors m’ont coûté assez cher pour ne rien me rapporter, logique, rien à dire. Je me suis fais souvent 3betté, quand j’ouvrais avec AK voire avec mes pp. Toutefois j’aurais la possibilité de prendre un beau pot preflop avec AA et je ne m’en suis pas privé.
3 tables = 3 terrains de mines.
Quand arriva le coup ci-après :
J’ai pp de 8 au bouton. Premier ouvreur je relance à 3bb. Je me fais 3beter immédiatement par la sb. Avec la position et après avoir essuyé plusieurs revers dans ces conditions je me décide de payer, le gars est cavé max, … comme moi.
Un flop tout à cœur contenant un 8.
Mon bon monsieur m’avait 3 beté avec une poubelle à cœur (64s, 53s ou 54s) et fait donc flush dès le flop. Belle pêche avec sa poubelle.
Nos tas de jetons partent au milieu à cet instant. Dès lors, je ne crains que le AKs à cœur bien que sa sur-relance témoigne d’une premium. Je me suis fait bien piéger par sa poubelle à cœur.
La morale c’est que mon set de 8 fera full et que je gagnerai donc un 35/65 qui punira le LAG de service. J’en ai tellement financé jusqu’à présent, que j’apprécie d’en déstacker 1. C’est mon côté zorro qui ressort … et qui m’a créé bien des torts.
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